Certificate of Advanced Studies (CAS)
Blockchain & Finance

Sabrina Boudefar est une crypto-native passionnée par le futur de la finance et la décentralisation. Fondatrice de NOMA Tokenomics et stratégiste Web3, elle a un background en finance et a obtenu son Executive MBA à l’IMD Lausanne. A travers NOMA Tokenomics, le premier studio Web3 spécialisé dans la tokénomie, elle accompagne les marques et les entrepreneurs à succès en Europe et aux USA. En fonction des besoins et des exigences de ces clients, elle propose des modèles économiques innovant (tokénomie), des modèles d’affaire / prévisionnels adaptés au web3 et des recommandations de financements ‘on-chain’.

Sabrina a travaillé dans divers segments du WEB3, notamment la DEFI, le Gaming, la Fintech, le Streaming, les NFT et les médias sociaux. Avant d’être entrepreneur, Sabrina était directrice audit et transformation au sein de sociétés cotées françaises, coach de startups et investisseur tech.

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Zarah Estermann, former IT and Business Process Management Consultant and HSG Alumnae, is the new Market Director CH/LIE at the digital assets custody and management infrastructure fintech Metaco. During her Master's degree at the University of St. Gallen, Zarah studied DLT/blockchain in depth.

As an expert speaker on the topic of digital assets custody, she is participating in panels and very actively involved in shaping a more secure and efficient financial industry based on DLT/blockchain.

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Jean-Marc Falter est membre de la direction de la Banque nationale suisse (BNS) où il occupe la fonction de délégué aux relations avec l’économie régionale pour la région de Genève, Jura et Neuchâtel depuis octobre 2012. Titulaire d'un doctorat en économie, Jean-Marc Falter était auparavant chercheur dans le domaine du marché du travail et de l'économie de l'éducation au Laboratoire d'économie appliquée de l'Université de Genève. Il a par ailleurs conduit de nombreuses recherches pour des institutions nationales ou internationales comme le Secrétariat à l’économie (SECO), l’OCDE ou la Banque mondiale.  

Les délégués aux relations avec l'économie régionale représentent la Banque nationale suisse (BNS) dans les régions de Suisse. Ils ont pour tâche d'informer la Direction générale sur l'évolution économique de chacune d'elles grâce aux contacts qu'ils entretiennent avec les entreprises locales. Par ailleurs, en tant qu'ambassadeurs de la BNS, ils expliquent la politique menée par la Banque nationale à leurs interlocuteurs issus des milieux économiques, des autorités locales et des associations, ainsi qu’à un plus large public.

Les innovations apportées par la blokchain et les crypto-monnaies posent des questions fondamentales comme… sur le rôle de la monnaie lui-même dans le système financier. Vaste sujet, une banque centrale ne peut se détourner de ce thème fondamental. Je tâcherais d’expliquer comment la BNS accompagne les innovations actuelles dans le système de paiement.

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Trang Fernandez-Leenknecht is a tax lawyer, entrepreneur, and philanthropist with a keen understanding of finance and technology. Active in the Blockchain space since 2018, Trang is a member of several executive and advisory Boards, and a speaker in international conferences such as COP27 in Egypt Sharm el Sheikh, Geneva Forum @ the United Nations, primarily in the areas of international tax, blockchain/advanced science, and regenerative finance.

Trang is the founding partner of HOLISTIK, an agile and forward-thinking wealth planning boutique, with Swiss and international tax and law expertise, recognized as the 100 innovative companies by the HUB Entrepreneurship and Innovation of the University of Lausanne (Switzerland). Trang regularly assists private and corporate clients in tax and regulation on blockchain technology as well as sustainable finance in Switzerland and key jurisdictions, notably in the context of Tax compliance, Asset transfer and protection, and Relocation.

In her previous roles, Trang was Director Wealth Planning Switzerland in a leading private bank, Vice-Chair of the Board and member of the Investment Committee of a US$ 1 billion pension fund.

• Qu’est-ce qui vous motive le plus pour intervenir dans ce CAS ?
  Rencontrer des personnes intéressées par cette technologie pleine de potentiel.
  Echanger sur les visions d’une économie intégrant les technologies de la Web 3.0, partager avec des praticiens et experts de leurs secteurs, apprendre des expériences et idées business novatrices.
• Avez-vous un « fun fact » à nous transmettre sur la blockchain ?
  Les définitions diverses des token d’un pays à un autre (et leur appréciation légale et fiscale, donc leur impact sur les finances).

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Arnaud Gaudinat est professeur en science de l’information à la HEG Genève depuis 2016 et ingénieur en informatique et intelligence artificielle de formation. Passionné par le Web bien avant son adoption massive, il aime en comprendre les rouages en associant une compréhension technique et une quête holistique bien impossible. La blockchain, l’internet de la valeur ou le plus ou moins bien nommé Web3 se sont imposés à lui naturellement en tant que continuité de l’évolution du Web et comme riche sujet d’étude via l’analyse onchain. Il enseigne l’analyse onchain en bachelor ID et a obtenu un financement pour la création d’une base de connaissance interopérable au sujet de la blockchain.

• Qu’est-ce qui vous motive le plus pour intervenir dans ce CAS ?
  Préparer Genève et la Romandie à la transformation blockchain même si la transformation numérique reste encore à faire.
• Avez-vous un « fun fact » à nous transmettre sur la blockchain ?
  J’ai miné de l’Ether vers 2016, sans savoir ce que je faisais vraiment, mais j’ai vite arrêté par peur de transformer mon Mac en grille-pain.
• Que vous inspire le web3 ?
  « Don’t be evil again » de Daniel Keller, en référence à Google et en l’espoir porté par un meilleur partage de la valeur. Mais aussi pour « les anciens », le Web sémantique de Tim Berners Lee
• Protocole préféré
  PoolTogether, une loterie décentralisée ou on ne perd jamais.

Contact & informations

Guillaume Helleu est architecte, Web3 strategist et chercheur associé à la HEAD – Genève.

En 2017, il commence à étudier les aspects socio-politiques et économiques des technologies blockchain. Depuis lors, il analyse ces questions dans des séries d'articles, conférences et cours.

En 2022 il cofonde Hint3rland : un studio de création pour le monde décentralisé où son activité est principalement axée sur la stratégie Web3 et le storytelling auprès de grands groupes.

• Qu’est-ce qui vous motive le plus pour intervenir dans ce CAS ?
  Enseigner de manière pionnière une technologie encore très incomprise.
• Avez-vous un « fun fact » à nous transmettre sur la blockchain ?
  Le White Paper de Bitcoin ne fait que 20'000 signes !

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Gabriel Jaccard is the CEO of Arbitri, a one-stop-shop for blockchain project based in Geneva. He is currently doing a Phd candidate at the University of Geneva. His thesis deals with smart legal contracts. Besides, Gabriel is the chair of the Regulatory Working group of the Crypto Valley Association and is active in politics.

• Qu’est-ce qui vous motive le plus pour intervenir dans ce CAS ?
   Connecting nodes together. 
• Avez-vous un « fun fact » à nous transmettre sur la blockchain ?
  Personne n’a encore vraiment trouvé une définition à la blockchain qui fait consensus. 

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Katrin is an experienced Capital Markets professional with a decade of experience in the Financial Services space.

She has worked with banks, market infrastructure provider, regulators and central banks to introduce new products and services or business divisions – from design to implementation. In the last 5 years, she has been focusing on Digital Assets and Digital Money, and how blockchain can change today’s value chains and roles & responsibilities.

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Titulaire d’un doctorat en sciences économiques des universités de Fribourg (Suisse) et de Bourgogne Franche-Comté (France), Jonathan Massonnet enseigne la macroéconomie et l’économie monétaire à la HEG de Genève, à l’Université de Paris Cité et à la HEG-Arc.

Récompensés en 2017 par le prix Vigener pour le meilleur travail de doctorat en sciences économiques (université de Fribourg), ses travaux de recherche portent sur les théories monétaires et la macroéconomie financière. Il mène actuellement un travail sur la portée économique des crypto-monnaies à l’aune des théories du circuit de la monnaie et du revenu, tout en intervenant dans une option d’enseignement Blockchain à la HEG de Genève.

Parallèlement à cela, il travaille en tant que conseiller économique à la Direction de l’économie, de l’emploi et de la formation professionnelle de l’Etat de Fribourg. Par le passé, il a œuvré dans l’audit bancaire, le contrôle de gestion et a été membre de l’État-major de crise Covid-19 de l’État de Neuchâtel.

• Qu’est-ce qui vous motive le plus pour intervenir dans ce CAS ?
  Interagir avec les étudiant-e-s sur les innovations monétaires et la portée économique de l’essor des crypto-monnaies.
• Que vous inspire le web3 ?
  Le Web3 s’inscrit dans un mouvement plus large de décentralisation et de désintermédiation, dont il faut cerner les potentialités, mais également en comprendre les limites.

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Ses recherches actuelles portent sur les implications sociales, politiques et esthétiques des intelligences artificielles et des technologies blockchain. Il a cofondé les revues de recherche Back Office et Réel-Virtuel et est l’auteur de l’essai Design et humanités numériques (éd. B42, 2017). Il est le requérant du projet de recherche « Guide méthodologique des technologies blockchain et NFT » (financement HES-SO Genève, 2022). 

• Qu’est-ce qui vous motive le plus pour intervenir dans ce CAS ?
  Les technologies blockchain sont apparues en 2009, et restent pourtant méconnues au-delà des polémiques et stéréotypes, alors qu’elles concernent de plus en plus de secteurs d’activités. J’espère pouvoir, grâce à ce CAS, transmettre mes connaissances sur le sujet pour que les participant-es soient en mesure d’en anticiper les enjeux dans leurs activités respectives.
• Que vous inspire le web3 ?
  Le Web3, derrière ses allures marketing, porte la promesse d’une meilleure répartition de la valeur produite par les internautes, qui est aujourd’hui captée par les grands groupes technologiques. Rien ne permet à ce stade de soutenir que cette ambition fonctionnera, mais le problème adressé est bien réel. 

Site Web

Il détient un bachelor HEC Lausanne et un master en finance de l’université de Pepperdine en Californie. Ayant débuté sa carrière dans la finance traditionnelle, il a ensuite poursuivi son activité dans le secteur de la technologie et travaillé pour une société de jeux mobiles (King digital qui sera listé sur le NYSE en 2014 et ensuite racheté par Activision en 2016). En 2016 il décide de se lancer dans le monde des actifs numériques et de la blockchain, il lance ainsi Akwan qui propose des services de conseils pour des family office et asset managers. Se rendant compte de l’intérêt grandissant des institutions il rejoint SEBA bank, particulièrement bien positionnée pour cette clientèle spécifique.

Alexander est ravi de participer en tant qu’intervenant dans le cadre du CAS car il considère que l’éducation est clé pour que les actifs numériques ainsi que les DLT soient mieux comprises et adoptés par le grand public. Il se considère comme «blockchain agnostic », et pense que de multiple blockchaines ayant des caractéristiques uniques serviront des cas très variés.

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To reiterate, the topic I'd like to delve into will be the holy grail of crypto valuation and trading signals: introduction to blockchain indicators and metrics.

Eliézer leads the research department at 21Shares. He has helped grow assets from $20 million to over $2 billion in assets by providing insights into crypto markets, including DeFi, NFTs, crypto infrastructure, and patterns associated with the global economy and geopolitics. His research is often featured in Bloomberg, Business Insider, and other leading news outlets to build crypto products and tokens ahead of market trends and help financial institutions, journalists, regulators, and the community navigate the cryptoasset industry. Experienced as a Venture Capital Associate in New York investing in seed and early-stage companies, including a billion-dollar Fintech startup, Eliézer's experience in crypto started in 2014. He obtained his master's degree in International Business with Honors and wrote his master's thesis on how the Bitcoin network could improve financial inclusion in developing economies.

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Paul est un entrepreneur, conférencier et modérateur.

Expert en cybersécurité, enquêtes, nouvelles technologies, il est également chargé de cours dans les hautes écoles suisses, à l’Institut de lutte contre la criminalité économique, la HEIG-VD et école de police.

Paul est membre du comité de conseil de plusieurs sociétés dans la cybersécurité, la fintech, la blockchain et d’associations et cybersécurité. 

Au bénéfice de plus de 20 années d'expérience au sein des cabinets d’audit et de conseil Big 4 (PwC, KPMG, EY), il a réalisé au sein d’établissements financiers et groupes industriels des missions dans le domaine de l’investigation, la sécurité de l’information, la blockchain également en collaboration avec les autorités de surveillance mondiale (SEC, FINMA). Précédemment, Paul était associé chez EY.

Titulaire d'un Master en informatique de l'EPFL, de certificats CISA, CISSP, CISM, CRISC, MIT Sloan School of Management in Blockchain Technologies, il est membre actif de (ISC)² et ISACA. 

Paul est actif dans des œuvres de charité et action humanitaire en tant qu’animateur, mentor et coach, notamment dans l’intégration des nouvelles technologies telles que la blockchain et les cryptomonnaies pour l’accomplissement des objectifs de développement durable.

• Qu’est-ce qui vous motive le plus pour intervenir dans ce CAS ?
  La blockchain est une technologie souvent associée à tort à la cryptomonnaie dans un but néfaste. Certes, toute technologie peut être utilisée à la fois à mauvais et à bon escient. Il est primordial de s’assurer d’une utilisation appropriée de la blockchain. Intervenir dans ce CAS permet de partager les bonnes pratiques, de sensibiliser les participants à être attentifs aux risques encourus, d’identifier en amont les éventuelles menaces et de déceler les failles.
• Avez-vous un « fun fact » à nous transmettre sur la blockchain ?
  En 2018, certains analystes ont indiqué que la blockchain allait révolutionner le monde de la finance dans 3 à 5 ans de manière radicale et notamment réduire à zéro les frais bancaires. Or on en est encore loin. Certes, la technologie progresse, des nouveaux protocoles voient le jour, les banques traditionnelles s’ouvrent de plus en plus vers cette technologie et les régulateurs essaient de « contrôler ». Lorsqu’il y a volonté et souhait de contrôler par une autorité centrale, les acteurs prônant la décentralisation vont à nouveau vouloir innover pour échapper à un « contrôle centralisé ».
• Que vous inspire le web3 ?
  Beaucoup assimile le Web3 à la Metaverse. Or, la Metaverse se réfère à un monde de réalité virtuelle. Web3 est une évolution du Web pour prôner la décentralisation et assurer la protection des données et le contrôle sur les identités numériques. Certes nous allons dans le bon sens. Toutefois, l’acceptation de l’utilisation à 100% d’un monde numérique est encore loin de la totale garantie d’une meilleure gestion de l’identité. Web3 possède une interdépendance avec les cryptomonnaies. Ainsi, le succès de Web3 est tributaire du succès des cryptos. Nous devons rester attentifs à ne pas sauter les étapes dans la mise en place et l’adoption de Web3.
• Quel est votre protocole préféré ?
  Pure Proof of Stake, utilisé notamment par Algorand et s’assurant d’une participation complète, d’un niveau de protection élevé et d’une vitesse au sein d’un réseau réellement décentralisé et en plus eco-friendly.

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