A Genève, année après année, le canton du bout du lac affiche un taux de chômage supérieur au reste de la Suisse.

Parmi les raisons invoquées, Giovanni Ferro Luzzi cite des scolarités qui compliquent l’accès au monde du travail. «Il y a typiquement à Genève moins d’apprentissages en entreprise que de maturités, rapporte le professeur Ferro-Luzzi. Les formations professionnalisantes sont défavorisées, alors que ce n’est pas le cas en Suisse alémanique. Cela peut jouer en défaveur de l’emploi des jeunes, car l’apprentissage permet de s’intégrer au monde de l’entreprise.»

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Prof. Giovanni Ferro-Luzzi

Directeur de l’Executive MBA HEG-Genève
Directeur de l’Institut de recherche appliquée en économie et gestion (IREG)
Giovanni Ferro Luzzi est professeur à la HEG-Genève et à l'UNIGE.