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Our trip to the country of chocolate

Since entering college, we wanted to have a cultural adventure, live new emotions, new places and meet people and so we decided to do ERASMUS in Geneva.
We confess that at first the idea was a little bit scary, because we would leave our friends and family, but the enthusiasm and desire to learn something new spoke louder.

When we arrived in Geneva, we were dazzled by the city, in our eyes was a vision of a different world, where people were so moved and so fast as if every second of the day were completely indispensable.

It was the second week of September, the day was beautiful, lots of sun, heat, and the train chased all day to reach the city of Geneva showed us a sublime way, the lake, whose water were so clear that we could see our reflection, the mountains, which always reminded us of ice cream cones with the tops covered with snow, although it was very hot in the city.

On September 21 we met  the corners of the Haute Ecole de Gestion of Geneva, led by the coordinators of Erasmus, we got to knew better the new Erasmus students and faculty, was a meeting of cultures, some very different, we had Spanish counterparts, Chinese, German, Brazilians, among others.

Our classes were intense in the HEG,  and the fact that we were in a class that combined both the Swiss and erasmus students made the sharing of cultures much more interesting, we gradually realize how small our world and how important and interesting  it is to know and adapt to different cultures,  we have learned a lot from all of them ... teachers and students.

Swiss food was amazing, the famous raclete, fondue au fromage, crepes, chocolates (the incredible chocolates ...).

It was very interesting when we had lunch together and we shared curiosities of our cultures, some so different ...
Geneva was a multicultural city, I called it the city of dreams, because the immigrants went there to find his place in the sun ... and because Geneva exuded culture.

We lived four months out of our world, was a challenge, but very worthwhile ... those were moments in our lives that we will never forget ...

International Greetings
Rita Monteiro and Telma Andrade

Allemagne

Cologne

Patricia GUISADO – Allemagne, Cologne
Information documentaire

Je garde un très bon souvenir de mon séjour à Cologne.

Je suis partie bien avant le début des cours car je voulais trouver un logement où je me sente bien. Après cinq jours de recherche, j'ai trouvé une chambre dans un immense appartement avec trois colocataires aussi différents que sympathiques.

Concernant les études, j'ai énormément apprécié de pouvoir choisir moi-même les cours. J'ai aussi pu connaître une autre façon de mener des études et une autre ambiance de travail. J'avais posé des questions à ceux qui étaient partis l’année d'avant, ils ont pu ainsi me donner des tuyaux qui m'ont été fort utiles sur place. Pour les tracasseries administratives comme j’étais avertie, je n'ai pas trouvé cela trop lourd. Bien sûr, il y a beaucoup de choses à organiser avant le séjour, au début et en fin de séjour.

J'ai été très bien accueillie autant de la part des enseignants que des étudiants. Comme il y a des travaux de groupe à faire, il est nécessaire de rapidement s’intégrer aux autres étudiants, il faut alors faire preuve d’initiative et oublier la timidité.

Cologne m’a beaucoup plu, j’ai sillonné la ville en vélo et j’ai surtout apprécié les innombrables et charmants cafés-restaurants aux prix raisonnables et aux portions généreuses.

Pour moi, l'expérience a été intéressante à tous les niveaux et je ne peux que vous conseiller de partir.


 
Jennifer LOPEZ - Allemagne, Cologne
Information documentaire

Après avoir rempli plusieurs formulaires divers en trois langues, après la recherche intense et stressante d'un appartement (qui fort heureusement a eu un résultat positif...), après avoir reçu la liste des cours disponibles et contacté individuellement tous les professeurs pour y assister, après avoir fixé les modalités d'obtention des crédits ECTS, après toutes les démarches administratives pour les assurances, le séjour, l'école, l'appartement, etc., après m'être battue pour obtenir certaines informations ou signatures, après m'être inscrite à la liste de diffusion, après avoir enfin réussi à „m'inventer“ un horaire stable, et tout ceci dans une langue que je ne maitrise absolument pas, je peux enfin profiter de mon échange pour encore un mois, en espérant toutefois qu'il sera validé à mon retour...

J'ai pu obtenir un peu d'aide et de nombreuses informations auprès d'étudiants Erasmus rencontrés grâce à l'AEGEE (Association des Etats Généraux des Etudiants de l'Europe). Les étudiants membres de cette association font un travail remarquable. Ils organisent des visites dans la ville et aux alentours, ce qui permet de découvrir la région. Toutes les semaines une soirée à thème a lieu. Cela m'a permis de rencontrer des personnes venant d'Allemagne, de Hongrie, de Slovaquie, d'Irlande, de Belgique... De toute l'Europe proche et même plus loin, notamment du Japon, d'Israël, de Turquie et de Chine !

L'enseignement est d'excellente qualité et j'ai été très bien accueillie par tous les professeurs. On m'a parfaitement intégrée à tous les exposés, laboratoires et travaux divers. J'ai eu la possiblité de participer à des cours n'existant actuellement pas à la HEG (Haute école de Gestion), ce que j'estime être un grand enrichissement. Mon allemand s'est considérablement amélioré. Malgré toutes les difficultés organisationnelles rencontrées et la trop courte durée de mon séjour, je suis très heureuse et satisfaite de cette expérience ! J'ai beaucoup appris sur ma future profession, l'Allemagne, l'Europe et ai rencontré énormément de personnes très sympathiques.

Je recommande vivement à tous les étudiants qui en ont la possibilité d'aller étudier un semestre ou plus à l'étranger !


 
Laure MELLIFLUO - Allemagne, Cologne
Information documentaire

Je me suis lancée dans l’aventure en me disant que je n’aurais pas deux fois la même chance et qu’on verrait bien sur place. Il n’y avait pas de raison que ça ne fonctionne pas.

Juste avant le départ et juste après l’arrivée, il faut une bonne dose de courage et de débrouillardise pour trouver un logement, s’inscrire aux cours et courir à gauche et à droite remplir des papiers administratifs. On a encore de la peine à s’exprimer, se sent seul au monde et on se demande un peu ce que l’on est venu faire là. Puis après deux ou trois semaines éprouvantes, on peut enfin profiter de son séjour.

Un semestre à l’étranger permet de s’offrir un bol d’air dans son cursus et de constater ce qui est différent ou ce qui ne l’est pas dans un nouvel établissement. Et pour se détendre un peu en dehors des cours, le mot magique ici est « Erasmus » : vous êtes tout de suite accepté et rencontrez d’autres étudiants dans la même situation (difficultés linguistiques, logement précaire et autres) venant de toute l’Europe ou de plus loin encore. Vous visitez et faites la fête ensemble. Puis c’est déjà la fin du séjour ; il vous reste des photos et des adresses e-mails à la pelle, des projets de voyage chez toutes tes nouvelles connaissances et plus que les bons souvenirs.


 
Alain MERMOUD – Allemagne, Cologne
Information documentaire

Mon semestre d’échange ERASMUS à Cologne m’a permis d’élargir mon horizon grâce à de nouvelles expériences, tant sur un plan professionnel que sur un plan humain. Un séjour dans la première puissance économique européenne ne pouvait être que source d’enrichissements. En effet, en plus d’avoir approfondi mes connaissances en langues et cultures germaniques, j’ai eu accès à des cours variés et intéressants. De plus, l’Allemagne se trouve être à la pointe mondiale de mon domaine d’études.

Sur le plan social, le réseau ERASMUS permet de faire de nombreuses rencontres cosmopolites, dans la vieille tradition des "escholiers" européens qui n’ont pas attendu la construction de l’Europe politique pour pratiquer le voyage universitaire. La dimension européenne ne pouvant échapper aux générations futures, le programme ERASMUS me semble être un moyen utile pour éveiller les consciences à cette perspective. De plus, vivre un séjour à l’étranger permet de prendre du recul, d’approfondir la connaissance de soi et de découvrir - lorsque surgit l’inévitable Heimweh - ce qui nous est vraiment cher dans notre pays d’origine.

Mes problèmes rencontrés étaient tous liés de près ou de loin à l’Administration, encore plus procédurière et bureaucratique qu’en Suisse. Les informations reçues étaient souvent floues et imprécises. Je suis par exemple arrivé un mois avant le début effectif des cours, car l’on m’avait mal informé sur la date du début du semestre, qui n’est pas la même qu’en Suisse. De plus, l’on se retrouve souvent seul face aux difficultés et aux incertitudes. Une fois les problèmes administratifs et de logements résolus, il était déjà presque temps de repartir. C’est pourquoi je trouve dommage qu’il ne soit pas possible de partir une année entière comme le font la plupart des autres étudiants ERASMUS.

La communication et la coordination entre Hautes Ecoles et étudiants reste donc LE point à améliorer, mais malgré cela le bilan de ce séjour reste pour moi éminemment positif.

 

Hambourg
Estelle BECK - Allemagne, Hambourg
Information documentaire

 

Stuttgart
Jeanne HAVLIK - Allemagne, Stuttgart
Information documentaire

Au cours de mon quatrième semestre, j’ai fait un échange Erasmus avec la Hochschule der Medien (filière Bibliotheks und Informationsmanagement) de Stuttgart.

Cette expérience a été fort enrichissante tant au niveau humain qu’au niveau des études. Je suis très satisfaite de la manière dont cela s’est déroulé. Les étudiants allemands s’intéressent beaucoup aux étudiants Erasmus et nous  étions donc bien intégrés. Dès le début de notre séjour, nous avons pu bénéficier d’un encadrement de la part d’étudiants allemands pour régler d’éventuels problèmes administratifs ou pour poser des questions relatives aux études ou à notre logement. De plus, la Hochschule der Medien organise des fêtes et des animations auxquelles j’ai eu l’occasion de participer, ce qui permettait de mieux connaître les étudiants des autres filières.
Au niveau des études, ma filière proposait des modules à choix. J’ai dû choisir des cours, dont le total devait s’élever à 30 ECTS. Le programme est bien plus allégé qu’à la HEG, ce qui me laissait pas mal de temps libre. J’ai choisi des cours que je n’ai pas l’occasion d’avoir à la HEG.

Quant aux désavantages, j’ai constaté qu’il y avait beaucoup de bureaucratie. Pendant plus d’un mois, j’ai consacré beaucoup de temps à régler toutes sortes de problèmes administratifs.

 

Finlande

Jyväskylä

François CAMPICHE– Finlande, Jyväskylä
Économie d’entreprise

Mon séjour Erasmus en Finlande a été une expérience très enrichissante. Dès mon arrivée, j’ai pu apprécier l’accueil chaleureux des habitants de Jyväskylä, ainsi que la qualité de la prise en charge par les responsables de l’université, notamment la désignation d’un tuteur pour chaque étudiant, ce qui facilite grandement l’insertion dans cette nouvelle culture.

Les méthodes d’enseignement sont très différentes. Les cours sont à option et l’utilisation de l’informatique est particulièrement développée. Durant mon séjour, j’ai pu visiter l’un des principaux centres de distribution de Finlande, ainsi que le centre logistique de l’aéroport d’Helsinki, ceci dans le cadre de mon cours « Warehousing ».

Ce que j’ai le plus apprécié, c’est le mélange des cultures auquel j’ai été confronté. En effet, l’université de Jyväskylä reçoit des étudiants venant du monde entier. Ca a été l’occasion de tisser de nombreuses relations internationales qui me seront très utiles dans le futur, tant sur le plan professionnel que sur le plan personnel. J’en ai déjà profité cet été lors d’un voyage en Asie.

Ce séjour Erasmus est donc une expérience que je recommande vivement à tous les étudiants qui en ont la possibilité.


 
Romain OBERSON – Finlande, Jyväskylä
Économie d’entreprise

Cinq mois d’Erasmus en Finlande a été une expérience mémorable tant sur le plan humain, culturel que scolaire. Le plus incroyable a certainement été d’arriver en Finlande avec des températures avoisinant les -30° et 5h de soleil par jour pour finir au mois de mai avec des journées ou le soleil ne se couche jamais.

Sur le plan des études, cela a été très enrichissant – la découverte d’un autre système scolaire où les étudiants peuvent choisir les cours qui les intéressent m’a surpris. Pour ma part, j’ai choisi des cours dans deux sections : International Business et Logistik. Un cours sur la gestion de la Qualité m’a permis de visiter l’entreprise finlandaise Valtra (tracteurs) et de voir comment on implante un système de gestion de qualité au sein d’une entreprise. Et bien sûr, j’ai pu pratiquer l’anglais, langue commune aux étudiants venus comme moi pour étudier à Jyväskylä.

J’ai aussi eu la chance de pouvoir effectuer un séjour à Stockholm, une ville magnifique. Enfin le retour en Suisse a été inoubliable. Nous sommes rentrés à 4 étudiants en voiture depuis la Finlande, en passant par la Suède, la Norvège avec une visite d'Oslo, Bergen et des Fjords, le Danemark, la Hollande, la Belgique et pour finir à Lille en France. Ce voyage de 2 semaines a été trop court, mais intense.

Le seul point négatif est qu’il y a eu une fin à cet Erasmus.

 

Pays-Bas

Enschede

 
Charlène KURER – Pays-Bas, Enschede
Économie d’entreprise

Bonjour à tous,

Par le biais de la HEG, j’ai eu l’opportunité de partir un semestre en échange Erasmus à Enschede, au Pays-Bas.

Enschede est la ville la plus importante de l’état d’Overijssel qui fait partie de la province de Twente. La ville compte environ 150'000 habitants dont une très grosse communauté estudiantine. En effet, Saxion, la Haute école, mais aussi l’université de Twente comprennent environ 20'000 étudiants.

La ENC (Erasmus Network Community) est très active dans la ville et organise de nombreuses soirées pour permettre aux étudiants de se rencontrer. Nouer des liens est donc chose facile.

Enschede, malgré un temps souvent pluvieux, est un lieu d’habitation agréable. Les rues piétonnes du centre sont facilement accessibles. Les bars et autres restaurants sont, pour la plupart, situés au « Oud Market ». Les autochtones sont calmes et serviables.

Les habitudes de vie hollandaises diffèrent quelque peu des nôtres. Les magasins ferment à 18 heures, heure à laquelle la plupart des hollandais sont déjà chez eux en train de dîner.

Saxion, la Haute école, est très moderne. Elle a été complètement rénovée il y a une dizaine d’années. Les cours sont accessibles et intéressants, les professeurs ouverts et sympathiques.

Cependant, l’organisation globale de l’école est un peu compliquée lorsqu’on arrive : Aucun argent liquide ne circule dans l’enceinte de cette dernière et tout se paie par « chipknip » une puce électronique, que ce soit la cafétéria, les distributeurs, les polycopiés ou encore les impressions.

L’école propose également une semaine d’introduction pour les étudiants Erasmus et organise une ou plusieurs excursions aux Pays-Bas durant le semestre ; j’ai par exemple eu la possibilité de découvrir Volendam ou encore Nijmegen par ce biais.

Le logement est un des points négatifs de mon séjour. La résidence universitaire, Macandra, était un ancien hôpital construit dans les années 70. Depuis lors, rien ou presque n’a été changé. Personnellement, après une semaine passée à Macandra, j’ai opté pour une colocation dans un appartement avec des étudiants norvégiens.

Pour conclure, mon séjour aura été une expérience formidable, tant par les personnes rencontrées, les excursions effectuées que les cours suivis. Je recommande donc chaudement Enschede à tous ceux qui hésitent encore.


 
Jeann-Louis PERREN - Pays-Bas, Enschede
Économie d’entreprise

Voici donc mon petit récit pour vous décider, ou peut-être au contraire vous faire renoncer, à partir en échange Erasmus et plus précisément à Enschede, à l’est des Pays Bas, à environ 2 heures en train d’Amsterdam. Cette ville de quelques 150'000 habitants est la dernière ville avant la frontière allemande qui se trouve à environ 5 minutes en voiture. La ville est jolie et accueillante. Il y règne un bon amalgame entre places principales, magasins et espace pour y vivre et se déplacer.

L’école, appelée la Saxion Hogescholen, est composeé d’un énorme bâtiment en forme de… tulipe, forcément. Les infrastructures datent de tout au plus une dizaine d’années et l’école est vraiment bien équipée, même s’il faut au début se mettre un peu à la mode locale pour les photocopies, les impressions, trouver son chemin dans les 5 parties du bâtiment ou encore apprendre à charger et utiliser le fameux Chipknip, sorte de monnaie virtuelle à charger sur une carte bancaire afin de payer tout ce qui est nourriture, boissons ou encore livres à l’intérieur de Saxion.

Un des grands avantages de ce séjour a été pour moi la totale liberté que nous a laissée la HEG en ce qui concerne le choix des cours. En effet rien ne nous a été imposé et j’ai ainsi pu composer un programme à ma guise en découvrant par exemple d'autres langues qu’à Genève (Hollandais ou Espagnol) ou encore des sujets plus précis comme E-Commerce, Management Skills ou le Marketing appliqué au domaine du B2B.

L’horaire hollandais est quelque peu plus allégé que le genevois étant donné que le nombre d’heures de cours se situe plutôt autour de la vingtaine. Ceci étant dit, le travail demandé, appelé aussi « self studing », est tout autant présent ici, si ce n’est plus qu’en Suisse.

Les classes de cours sont souvent essentiellement composées d’étudiants en échange. Ces derniers viennent d’Allemagne, d'Espagne, de France, de Pologne ou encore de Chine. Ne vous faîtes pas de souci, les cours sont tous donnés en anglais et il n’y a pas de mauvaise surprise à se retrouver dans un cours donné en hollandais. Cependant on sent, que pour certains professeurs, l’anglais n’est pas leur langue maternelle et la prononciation est parfois discutable. Toutefois, toute la matière et le travail se faisant en anglais, soyez persuadés que vous aurez l’occasion d’utiliser suffisamment la langue de Shakespeare !

Les difficultés que vous pourrez peut-être rencontrer sont aussi multiples. D’abord le hollandais parlé dans les couloirs ou au supermarché n’est pas une langue facile d’accès. Il faut se mettre au moyen de transport national : le vélo. Le logement estudiantin n’est pas non plus un sujet facile aux Pays Bas puisque les prix sont assez élevés. A partir de là, vous avez la cité universitaire (Macandra) qui n’est autre qu’un ancien hôpital datant de 1970 et donc les chambres ne sont ni spacieuses ni accueillantes. Cependant environ une vingtaine d’étudiants se partagent un des 10 étages ce qui donne lieu à de belles rencontres, découvertes ou encore petites fêtes. Sinon, si la vie en communauté vous fait peur, il vous faut vous lancer dans une difficile chasse au logement dans la région de Twente.

En résumé, malgré quelques habitudes à prendre dans les premiers temps et le fait de laisser tous ses amis et famille derrière soi, un échange Erasmus, dans quelque pays que ce soit, est certainement une expérience inoubliable et au combien enrichissante que je recommande à tout un chacun !