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Nom : ELLBERGER
Prénom : Eric
Filière : Economie d’entreprise (en emploi)

Mon expérience MBA à Atlanta, USA

Durant mon cursus d'étude à la HEG « en emploi », plusieurs sujets traités m'ont beaucoup intéressé. En effet, la qualité de la formation reçue m'a donné à la fois l'envie et la motivation de continuer à me spécialiser dans un nombre de domaines relatifs à l'économie d'entreprise. Dès la fin de ma troisième année, j'ai ainsi commencé à me renseigner sur les divers programmes de Master envisageables. Le MBA me semblait un choix judicieux étant donné mes quatre années d'expérience professionnelle. Les critères sur lesquels je me suis penché ont alors été (1) les lieux stratégiques, (2) les classements internationaux et (3) les prix. J'ai rapidement réalisé que la ville d'Atlanta pourrait être un bon choix étant donné qu'elle combine un développement économique spectaculaire lié principalement à ses grandes entreprises (Delta, Turner, Coca Cola, Target) et un cout de la vie relativement bon marché. Dès lors, mon choix s'est penché sur la Georgia State University qui jouit d'un excellent classement (top 30 des Business Schools américaines) et un prix très raisonnable en comparaison de celui demandé par les toutes grandes universités. J'ai eu la chance d'y être accepté malgré des critères d'admissions stricts et compétitifs.

Quelques mois plus tard, j'étais de retour sur les bancs d'école. Salle high-tech, note de participation orale de 30%, accent américain du sud à n'y rien comprendre, professeurs que l'on devait nommer « Doctor », montagnes de rapports à rédiger, livres à lire de plus de 1000 pages chacun, système de notation que j'ai mis plus d'un semestre à comprendre... J'ai heureusement eu la chance de me retrouver dans un groupe d'étudiants fort sympathiques qui n'hésitaient pas à passer quelques heures par mois à m'expliquer ce que je n'avais pas compris pendant les cours. Je dois également spécifier que, vu le statut public de l'école, j'étais l'un des rares étrangers attaché au programme MBA. Malgré la difficulté croissante des cours d'un semestre à un autre, il me semble que la capacité d'adaptation est, pour un étranger, une des composantes de succès. En effet, les débuts me paraissaient très compliqués étant donne la difficulté à adapter un system tellement différent du nôtre, tandis que pour mes collègues locaux, il s'agissait simplement d'un rafraichissement à la vie estudiantine. Plus le temps passait, plus cette tendance s'est inversée et assez rapidement, je me suis retrouvé dans le premier tiers des meilleurs éléments de la classe, un point très important à la fois pour trouver du travail aux USA et pour pouvoir bénéficier d'une marge de manœuvre si un examen est raté. Rapidement, il m'a fallu choisir mes sujets de spécialisation. J'ai choisi « Finance » et « Corporate Governance ».

Aussi, au fil des classes, j'ai commencé à me créer un important réseau social et professionnel (un élément clé du MBA au Etats-Unis). J'ai également rencontré des étudiants en « Master de Finance » d'Audencia à Nantes ainsi que de l'Université de Lausanne qui venaient accomplir un semestre d'études à l'étranger. Je leur servais régulièrement de guide.

Finalement, la flexibilité des cours m'a permis de finir le programme en 18 mois plutôt qu'en deux ans. Ce fut une expérience extraordinaire pour moi, non seulement du point de vue de l'apprentissage académique, du développement de mon réseau social et du perfectionnement de mon Anglais, mais également parce que cela m'a permis de découvrir une nouvelle culture qui n'a rien à voir avec celle que l'on peut connaître en Europe ou même sur la côte est des Etats-Unis. De plus, la proximité du monde des affaires m'a permis d'accomplir des mandats pour un certain nombre d'entreprises, notamment: Porsche (PCNA), Five Guys (une chaîne de fast-food), Delta Airlines ainsi que pour des entreprises à but non lucratif.

Je me permets de recommander ce type d'expérience à tout étudiant de la HEG qui disposerait d'une solide motivation, tout en étant prêt à un apport financier personnel important. En effet, durant mon programme MBA, je me suis vite rendu compte de la chance exceptionnelle que nous avions en Suisse de faire des études de haute qualité pour un montant dérisoire. Cela dit, je suis persuadé qu'il s'agit d'un investissement intelligent et que quoi que j'entreprenne dans le futur, je ne regretterai pas cette aventure.

Je vous souhaite beaucoup de succès et n'hésitez pas à me contacter pour d'éventuelles questions.

Avec mes cordiales salutations,

Eric Ellberger (eric.ellberger@gmail.com)

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Image removed.Nom : DE SOUSA
Prénom : Catherine
Filière : Economie d’entreprise (en emploi)

«La HEG c'est la meilleure solution pour ceux qui veulent suivre une formation de haute qualité en alliant vie de famille et vie professionnelle !»

«J'ai choisi la HEG car je me devais de finir une licence en économie. Les aléas de la vie ont fait que je n'ai pas terminé mes études universitaires après le collège! J'ai donc choisi la filière en gestion d'entreprise en emploi car ce mode de formation me permettait de concilier au mieux vie privée, vie professionnelle et vie estudiantine. Je suis âgée de 33 ans, mariée et maman de deux enfants (11 ans et 8 ans) ! Je suis très contente de la formation proposée par la HEG. J'aime que les professeurs soient baignés dans le monde professionnel et qu'ils nous livrent leurs expériences du terrain en complément des théories qu'ils enseignent. C'est un des nombreux aspects pédagogiques positifs des cours dispensés par la HEG. Cette formation nous permet de comprendre les nombreuses facettes structurelles de l'entreprise. Enfin, la HEG m'a appris le travail d'équipe, la constance, la persévérance».

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Nom : BRAVO
Prénom : Yannick
Filière : Assistant en Économie d'entreprise (HEG)

«La HEG un choix que je recommande pour plusieurs raisons»

«Pour moi, l'atout principal de l'école c'est qu'elle permet aux élèves qui ne savent pas encore vers quelle profession s'orienter, de leur présenter des formations concrètes avec des métiers s'y rattachant. Mon ambition avant d'entrer à la HEG était de devenir cadre dans les RH et pour moi, le management semblait être «la voie royale». J'ai donc choisi parmi une large palette de cours, de suivre un parcours qui m'a permis de privilégier le côté éthique avec une majeure en management durable et un côté humain avec une mineure en entreprenariat social. Je suis content d'avoir choisi la HEG, car pour moi, cette école tient ses promesses lorsqu'elle dit valoriser la formation tout en offrant des cours de qualité. J'avoue avoir été conquis par des branches comme la communication et la méthodologie, bien que j'aie choisi au final de suivre un master en gestion des services. En fait, deux raisons principales me permettent aujourd'hui de recommander la HEG : c'est l'excellente culture générale et l'encadrement de qualité qui y est offert».

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Nom : MAZOLO
Prénom : Axel
Filière : Économie d'entreprise en emploi, 2ème année

Axel Mazolo de la HEG Genève a été nommé «Étudiant Exceptionnel» par son parcours Extra-scolaire lors du Forum Étudiant de Lausanne. En effet, il concilie avec talent ses études en économie d’entreprise et de nombreuses activités professionnelles et sociales. Parcours d’un étudiant hors du commun.

«Modifier les choses par un comportement exemplaire» voilà le leitmotiv d’Axel Mazolo. Âgé d’une vingtaine d’années seulement, il est à la fois secrétaire général d’une association, vice président d’une autre, associé dans une firme de cosmétiques, employé administratif à l’État de Genève, sportif d’élite, tout en faisant son Bachelor. Il est jeune, ambitieux, réfléchi et responsable.

Arraché à son Congo natal à l’âge de 7 ans, Axel regagne la Suisse en compagnie de sa mère, de ses frères et sœurs. Il se souvient encore de son intégration scolaire comme une période difficile : « J’étais très introverti à cet âge-là et, n’ayant pas beaucoup d’amis, je subissais beaucoup de moqueries de la part de mes camarades de classe.  Ma couleur de peau devait y être pour quelque chose… ».

Grâce à son talent sportif, il intégrera des écoles qui lui permettront de conjuguer ses études et sa passion. En parallèle, chaque été, il travaille dans différents domaines afin de parfaire son bagage professionnel et subvenir aux besoins de sa famille.

Aussitôt son stage fini de maturité professionnelle, Axel prend conscience de son potentiel et décide d’entreprendre une carrière de footballeur. Pour cela, il s’entraînera quotidiennement avec acharnement et cela l’amènera à évoluer en 2ème division espagnole. Cependant, des problèmes administratifs le ramèneront en Suisse. Cet événement, Axel le vivra comme une profonde désillusion et cela marquera un tournant dans sa carrière sportive : « J’ai réalisé à ce moment que le foot était pour moi un moyen et non un but ». Axel a voulu par son engagement sportif et sa ténacité montrer qu’il était possible de vivre ses rêves et surtout de modifier les idées reçues : « Tous les africains ne sont pas des paresseux ou des assistés. ».

Il comprend que sa voie se trouve dans le développement du partenariat entre son pays natal et la Suisse : « L’Afrique et l’Europe ont encore beaucoup à apprendre mutuellement et il faut développer des liens commerciaux et sociaux plus équitables entre ces deux continents. Ayant les deux cultures, j’ai envie d’apporter ma pierre à l’édifice. Je sais désormais que ma contribution à ce développement sera plus significative en étant dans le milieu des affaires qu’en briguant une carrière de footballeur ».

Dès son retour d’Espagne, il décide donc de s’inscrire à la HEG en filière économie d’entreprise. Son ambition : devenir un homme d’affaire pour «construire» des ponts technologiques entre l’Europe et l’Afrique. Sa nature d’entrepreneur le poussera à s’investir dans différents domaines qui vont du cosmétique à l’immobilier en passant par l’engagement humanitaire au sein de diverses associations genevoises  comme « Femmes pour la planète», qui a pour but de valoriser le travail des femmes en Afrique. Axel est aussi très actif avec l’association «Espace Gungu» qui s’occupe du développement économique et social de la région de Gungu, une citée de 30'000 habitants dans le nord du Congo. Le business oui, mais éthique.

Il n’hésite pas à nous confier que pour réussir à mener de front une carrière professionnelle, des études en formation continue et tous ses mandats au sein des associations cela exige de la discipline et une gestion rigoureuse de son temps. La HEG, par son enseignement à la fois théorique et pratique, fait écho à sa nature d’entrepreneur : «Il est important de ne jamais se limiter et de jouer tous les coups à fond.» Voilà son moteur et, qui sait, peut-être le secret de sa réussite ? 

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Nom : TRITTEN
Prénom : Nicolas
Filière : Informatique de Gestion, 3ème année

Quand je me suis inscrit à la HEG en 2007 je venais d’obtenir ma maturité professionnelle. Mon but c’était d’avoir une vision plus large que simplement l’informatique. Je voulais également obtenir des compétences en gestion d’entreprise et élargir ma vision notamment sur les services IT. Durant mes études, j’ai eu l’occasion de réaliser des projets intéressants. Par exemple, mettre en place pour l’État de Genève une application destinée à améliorer la gestion des téléphones IP (CISCO IP Phone).

Maintenant, je commence mon travail de Bachelor, j’ai la chance de pouvoir l’effectuer directement dans une entreprise d’investissement. Je suis chargé de concevoir un système de reporting financier pour mesurer la performance des portefeuilles de titre des clients.

La HEG m’apporte une vision très large sur le monde des technologies de l’information, de la gestion de projet et de ses mises en pratique.

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Nom : VESELOVSKA
Prénom : Marika
Filière : Economie d’entreprise 1ère année à plein temps
Age : 25 ans
Pays de provenance : Slovaquie
Arrivée en Suisse : 2002

J’ai effectué ma scolarité obligatoire, puis une maturité professionnelle commerciale dans mon pays natal qui est la Slovaquie. Ensuite, j’ai décidé d’entreprendre un diplôme de business en Angleterre, car j’apprécie beaucoup la culture anglaise et je voulais faire l’apprentissage de cette langue. Et pour finir, j’ai décidé d’apprendre le français à Genève où j’ai obtenu un diplôme IATA (International Air Transport Association).

Lors de mon arrivée en Suisse, la principale difficulté que j’ai rencontrée était l’apprentissage de la langue française à l’école de commerce. Mais, avec les mois, la langue était de moins en moins un handicap. Pendant mes études, j’ai rencontré une fille qui m’a fait connaître la Haute Ecole de Gestion (HEG - Genève). L’élément déterminant qui m’a poussé à choisir cette école est que ses enseignant-e-s se basent sur leurs expériences pratiques en plus de la théorie.

Pour pouvoir être admise à la HEG - Genève, j’ai dû passer un examen de comptabilité et un examen d’allemand. Et, grâce à mon expérience acquise à l’école de commerce, ces examens se sont déroulés dans de bonnes conditions.

Une fois l’obtention de mon diplôme, j’envisage de faire une formation post-grade et un stage d’une ou deux années dans une entreprise, pour ensuite entrer dans le monde professionnel.

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Nom : GOUMBA KOUNDJA
Prénom : Mahamat-Oumar
Filière : Economie d’entreprise en emploi 1ère année
Age : 26 ans
Pays de provenance : Tchad
Arrivée en Suisse : 2000

J’ai obtenu mon BAC littéraire à l’école française du Tchad. A mon arrivée à Genève, j’ai suivi des cours à l’Institut de Formation des Adultes à Genève (IFAGE) où j’ai obtenu un certificat en comptabilité. Pour accéder à la Haute Ecole de Gestion (HEG - Genève), j’ai dû suivre des cours d’italien pour la pratique d’une des langues nationales.

Une enseignante de l’IFAGE m’a conseillé la HEG - Genève, car j’apprécie les sciences économiques et sociales. J’aurais préféré effectuer ma formation à plein temps, mais étant obligé de m’autofinancer, j’ai été poussé vers la formation en emploi.

La langue n’était pas un problème, car j’étais dans une école internationale qui m’a permis de bénéficier de l’usage de la langue française. Toutefois, c’est dans l’annotation scolaire que je me suis vu légèrement déstabilisé. En effet, savoir que je serai noté sur 6 et non sur 20 m’a fait imaginer le pire. Mais avec le temps, l’habitude s’est installée. Le travail demandé à la HEG - Genève est plus précis qu’à l’école au Tchad, ce qui facilite la compréhension de la tâche à accomplir.

Après l’obtention de mon diplôme d’économiste, j’aimerais m’orienter vers un diplôme d’expert comptable, pour retourner dans mon pays et transmettre mes connaissances.

Je me plais dans cette école, l’ambiance dans la formation en emploi est sympathique. La HEG - Genève est un centre de formation spécialisé de haute qualité et d’une tendance à réputation internationale. Enfin, j’ai tout de même hâte de finir cette école et d’en sortir la tête haute !

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Nom : BRUEGGER
Prénom : Olivier
Filière : Economie d’entreprise 1ère année en emploi
Age : 31 ans
Pays de provenance : Soleure / Suisse
Arrivée en Suisse : 2001

J’ai effectué toute ma scolarité obligatoire dans les cantons de Soleure et Berne. Par la suite, j’ai obtenu une maturité professionnelle à l’école de commerce et me suis décidé à me lancer dans la vie professionnelle. J’ai travaillé dans diverses entreprises en Suisse alémanique ainsi qu’à l’étranger, puis suis arrivé à Genève suite à mon dernier changement d’emploi.

Par la suite et grâce à la politique des ressources humaines de mon employeur plutôt favorable à la formation continue, j’ai décidé d’entreprendre une formation à la Haute Ecole de Gestion de Genève (HEG).

Mon choix de la suivre à la HEG de Genève est d’ordre pratique et personnel, car cette école m’offre la possibilité d’améliorer mes connaissances en français et de vivre de nouvelles expériences. L’intégration du point de vue scolaire s’est déroulée assez aisément, car les systèmes scolaires soleurois et genevois sont les mêmes. Mon ambition future est de travailler dans une multinationale en relations et commerce international.

J’apprécie la flexibilité des horaires de cours, la variété culturelle ainsi que le choix des différents sujets d’études offerts à la HEG - Genève qui sont proches des exigences du marché du travail.